Et si le pied était la région la plus éloignée du cerveau?

Et si le pied était la région la plus éloignée du cerveau?

Aujourd’hui, il est temps d’observer le corps non pas comme un assemblage de parties, mais plutôt comme un tout. Aujourd’hui, il est temps de connecter le pied au reste du corps. Aujourd’hui, il est temps de s’intéresser à la neurologie fonctionnelle.

Le pied… nous l’utilisons à répétition durant la journée. Cette machine nous sert du matin au soir, pour se lever, se tenir debout ou encore marcher. Nos pieds nous permettent de nous déplacer dans l’environnement. Ils ont également la compétence de ressentir le sol, de nous connecter à la terre. Vous l’aurez compris, le pied est important.

Aujourd’hui, il est important de le rappeler. Il n’existe pas « des pieds » mais « un pied ». Il existe « un pied » et « des pieds compensateurs ». Le pied s’organise et se structure très tôt dans le développement. Grâce à des mécanismes de survie, le bébé va découvrir les nombreuses facettes motrices que peut effectuer un pied : la flexion, l’extension mais aussi… la pronation, la supination. La découverte de ces mouvements va être à la base d’un développement sain et d’une utilisation saine.

Tenir debout est un défi réel pour le cerveau. Le corps humain tient debout grâce à une région, la plus éloignée du cerveau. Oui, les pieds sont les « morceaux » les plus éloignés du cerveau. Revenons brièvement au développement de l’être humain. Ce développement s’effectue selon deux lois de développement : la loi céphalo-caudale et proximo-distale. Pour un bon développement, le pied a besoin d’un bon développement de la tête, du tronc, de la main. Ce n’est qu’après ceci que le pied se développera convenablement. Parce que oui, tout est relié : « Tout est un, un est tout ».

En sport, les entraîneurs ont la particularité de se focaliser sur le pied. Beaucoup sont obnubilés par la fréquence gestuelle, sa capacité à aller vite mais aussi sa capacité à réagir rapidement face aux différentes forces qu’il subit.

Mais… le pied a-t-il les ressources nécessaires pour effectuer ceci ? Est-ce que le cerveau a la capacité de pouvoir mouvoir son pied comme il le souhaite ?

Chez Institut IP, nous développons et optimisons le pied à travers le cerveau.
Chez Institut IP, nous utilisons la pyramide de Williams & Shellenberger pour travailler le pied.
Chez Institut IP, c’est redécouvrir les fondements du développement humain.

Travailler le pied est sans doute la dernière région à travailler pour le corriger.

Quentin Mauries
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